12 activistes Greenpeace jugés pour intrusion dans la centrale de Gravelines

Après 48 heures en garde à vue, les militants sont présentés depuis ce matin à la procureure de Dunkerque.

Selon Fanny Delahalle, référente juridique Greenpeace France, ils risqueraient une convocation pour un procès et pour certains un contrôle judiciaire.

Pour rappel, lundi ils avaient pénétré sur le périmètre du site nucléaire pour dénoncer les risques de montée des eaux et le projet de construction de deux nouveaux EPR.

Pour les soutenir, une quinzaine de représentants d’associations de protection de l'environnement ont brandi des pancartes devant le Palais de Justice en attendant leur sortie.

Kevin Lind, salarié Greenpeace.